Marie Charpentier, biologiste de l'évolution au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive de Montpellier (CEFE-CNRS) et coordinatrice du Projet Mandrillus, créé début 2012, s’est rendue en avril 2013 au parc de la Lékédi, dans la province du Haut-Ogooué au Gabon. Elle étudie depuis un an et demi, une population de mandrills sauvages habitués à la présence humaine afin de connaitre les différents déterminants des relations sociales entre membres d’un même groupe et l’impact de ces relations sur la santé des individus.
Réalisation : Marcel Dalaise - Production : CNRS Images
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