Les modèles et simulations des scénarios climatiques sont utiles pour prédire les changements à venir et les impacts sur la biodiversité. Mais ces projections doivent pouvoir intégrer une gamme d’informations plus large afin de réduire les incertitudes de certaines données prévisionnelles. Peut-on améliorer ces modèles ?
Hélène Morlon Chercheur CNRS à l’institut de biologie de l’École Normale Supérieure (IBENS) Anne-Laure Dalibard Professeur à l'Université Pierre et Marie Curie, Laboratoire Jacques-Louis Lions (CNRS, Université Paris-Diderot, Université Pierre et Marie Curie) Christian George Directeur de recherche au CNRS à l’IRCELYON, l’Institut de Recherches sur la Catalyse et l'Environnement de Lyon (CNRS – Université de Lyon) Jean-Louis Dufresne Directeur de recherche CNRS au laboratoire de météorologie dynamique (LMD, CNRS - Université Pierre et Marie Curie - École Normale Supérieure - École Polytechnique) et directeur adjoint de l’Institut Pierre-Simon Laplace, responsable du Centre de Modélisation du Climat